Découvrez la 2ème proposition du Mouvement M30 NAABA WOBGO formulée au cours de leur Conférence de presse

BURKINA FASO

<< Nous, le Mouvement M30 NAABA WOBGO, assignons au capitaine Ibrahim TRAORE, le devoir de nous laisser un livre blanc de la nouvelle école qu’il faut au Burkina Faso>>, ( Yéli Monique KAM,
Coordinatrice du Mouvement M30 NAABA WOBGO)

Le Mouvement M30 NAABA WOBGO de Mme. Monique Yéli KAM a tenu un point de presse le vendredi 13 Janvier dernier. Un point de presse au cours duquel le mouvement a fait une série de propositions pour une bonne conduite de la transition. La rédaction de Fresh Burkina vous communiquera point par point ces différentes propositions au cours de cette semaine.

Découvrez la 2ème proposition du Mouvement M30 NAABA WOBGO formulée au cours de leur Conférence de presse relative à la Refonte de notre Système éducatif et à l’apprentissage aux Métiers en Situation d’Urgence.

<< Il faut réinventer une Ecole burkinabè, endogène, agricole et citoyenne. Nous, le Mouvement M30 NAABA WOBGO, assignons au capitaine Ibrahim TRAORE, le devoir de nous laisser un livre blanc de la nouvelle école qu’il faut au Burkina Faso qui réinvente la formation des enseignants, les curriculums, l’introduction de l’agronomie à l’école primaire selon le concept une école, un périmètre agricole, une société éduquée dans une environnement sain grâce à une hygiène publique rigidement règlementée par une réduction des débits de boissons et maisons de passe.
Pour l’Ecole nouvelle, il faut réinventer le mode de financement. Dans le contrat social à adopter à l’issue du Dialogue National, l’Ecole sera inscrite en URGENCE NATIONALE à imposer au prochain dirigeant.>>

Et pour l’apprentissage aux Métiers en Situation d’Urgence, le Mouvement propose ceci :

<< Cela passera par l’école professionnelle que toutes les sociétés d’Etat devront créer comme passerelle de l’enseignement général en attendant une véritable Refonte de notre système éducatif. Sur les vingt-une (21) sociétés d’Etat, l’Etat aura créer en une année, vingt-une (21) écoles professionnelles dans les sociétés d’Etat devant former un vivier de compétences employables et d’entrepreneurs en herbe.
Autant en politique, un renouvellement générationnel est requis, autant les acteurs économiques revendiquent à l’Etat de faire émerger une nouvelle classe d’hommes et de femmes d’affaires, de fournisseurs et prestataires dans tous les secteurs d’activités.>>

Fresh Burkina

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