Cinq cent (500) baobabs et deux (200) grilles de protection mis sous terre par la FSD-B et ses partenaires, April Oil, la SOGECA International, le FIE, L’ONG Tree Aid, l’église et l’eau MESGA à MINISSIA / Passoré
Le top départ du reboisement donné par le premier responsable Dr. Sompagnimdi Joseph Kafando
Minissia, 25 juillet 2025 ( Fresh Burkina) – Dans le cadre de la préservation de la nature , les membres de la Fondation Sompagnimdi pour le Développement du Burkina (FSD-B) en collaboration avec ceux de la Fondation April Oil pour l’Environnement, la Société Générale d’Expertise Comptable et d’Audit (SOGECA International), le Fonds d’intervention de l’environnement (FIE), L’ONG Tree Aid, l’église et l’eau MESGA, ont procédé ce vendredi à la plantation de cinq cent (500) baobabs, dont deux (200) grilles de protection à MINISSIA, dans la province du Passoré, région du nord, une localité située à 134 kms de Ouagadougou (Capitale administrative du Burkina Faso).
Une vue des premiers responsables de la Direction régionale des Eaux et Forêts
Cette campagne de reboisement, pour cette 4e édition, placée sous ce thème : << Une femme , un baobab >> à connu une forte mobilisation de la population de part et d’autres.
Sous la pluie, malgré tout, ils ont fièrement réalisé cette campagne de reboisement pour la postérité.
Le premier responsable de la FSD-B, Docteur Sompagnimdi Joseph Kafando expliquant les objectifs de l’activité
Prenant la parole, le premier responsable de la FSD-B, Docteur Sompagnimdi Joseph KAFANDO a déclaré ceci :
<< Nous sommes venus ici ce matin pour une activité de reboisement. C’est la 4e fois du genre et cette fois-ci nous avons décidé d’associer plus les femmes, car elles peuvent bien entretenir les arbres. Ainsi, nous sommes venus avec les arbres et une technique de protection pour les permettre de les planter dans un lieu de leur choix et de les entretenir. Nous voulons que dans 2 ou 3 ans, qu’on puisse avoir des arbres, car nous connaissons tous les bienfaits de l’arbre. Les plus hautes autorités de notre pays encouragent le reboisement et c’est avec plaisir que nous les accompagnons dans ce sens. Nous avons pu mobiliser 500 baobabs et 200 grilles de protection et nous pensons qu’avec les grilles et les arbres, les femmes pourront bien les entretenir. L’un des objectifs majeurs de la fondation, c’est l’autonomisation des femmes et des jeunes. >> a-t-il déclaré avant de poursuivre en ces termes.
Une prise de vue des organisateurs de l’activité
<< Pour cette 4e édition, nous avons bénéficié du partenariat de April Oil, la SOGECA International, le FIE, L’ONG Tree Aid, l’église et l’eau MESGA, que nous remercions énormément.>> a-t-il renchéri avant de clore ses propos en ces termes.
<< Nous remercions également le gouvernement, car nous avons la présence ici ce matin des représentants du service environnemental de la commune de Samba et de la Mairie. Nous souhaitons que la politique nationale de l’environnement développée et implantée par les autorités actuelles puissent produire des fruits au grand bonheur des populations. Que la Paix revienne au Faso. » a-t-il conclu !
Naaba Siguiri de Toessin exprimant ses mots de gratitude.
Pour Naaba Siguiri de Toessin, ils n’ont que des mots de remerciements :
<< nous sommes très contents aujourd’hui de recevoir ces dons constitués d’arbres en faveur des femmes et nous leur disons infiniment merci. Nous demandons également à tout un chacun de ne jamais traverser cette saison pluvieuse sans planter ne ce reste qu’un seul arbre, car l’arbre produit beaucoup de vertus pour l’humanité. >> a-t’il déclaré !
Une vue symbolique des baobabs et les grilles de protection
Cette action a connu les bénédictions de l’Eglise, qui n’a pas manqué d’inviter les populations de toutes les localités du pays à planter des arbres, car l’arbre c’est la vie, disent-ils.
En rappel, la Fondation SOMPAGNIMDI POUR LE DÉVELOPPEMENT est une fondation créée en 2018 et qui œuvre dans le développement, à savoir l’épanouissement et le développement des couches défavorisées de la population au Burkina Faso. Elle œuvre dans l’éducation, la formation professionnelle, l’autonomisation et l’employabilité des jeunes, la santé, etc.
Une vue des participants plantant leur baobab.
Rendez-vous est donc pris à l’année prochaine pour la 5e édition par la Grâce de Dieu.
A.W.Y.B
